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STANISLAS ETERNEL

22 mai 2007

POSTHUME.

                                        DEUXIEME PARTIE.

L'amour de l'âme se décrit en sept chapitres :

1/ L'admiration

2/ plaisir de lui donner des baisers et d'en recevoir
3/ L'espérance
4/ L'amour né
5/ La première cristallisation commence
6/ Le doute né (amant malheureux)
7/ Seconde cristallisation


J'apporterais disgrâce et malheurs à quiconque viendra me trouver. J'apporterais amour et déchéance sensuelle à qui le voudra. J'apporterais sensualité et baisers a qui le désirera. Je détruirais les corps et les coeurs sur quiconque je me jetterais. Je supprimerais le désespoir et la peur à n'importe lequel me plaira. Et je sellerais

passion et luxure avec mes lèvres blanchâtres au nom de l'Ivresse et de l'Erotisme.

Marquis de Sartre.

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22 mai 2007

FEDOR MIKHAÏLOVITCH D.

                                       

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PREMIERE PARTIE

Et parce que tu es tiède, et que tu n'es ni chaud ni froid,
je te vomirais par la bouche.

Il faut croire que tout ne me réussi pas. Une vie sentimentale qui tient du porno pour minets. Un entourage de pauvres cons, qui me sont totalement inutile (sauf toi ma Plectrude). Une famille qui frise le ridicule social, et qui me prend pour fou. Oui je suis surement fou, je veux bien leur accorder ceci. La folie est un état d'esprit, qui permet les plus grands rêves, les plus grandes inventions, et les plus grands criminels. Oui en fait un génie c'est un criminel munie du Rêve dans la main gauche, et de l'Invention dans l'autre. Je suis un génie. Je ne fais pas d'hyperbole. Je suis un génie complètement infréquentable, totalement attirant, mais suprêmement détestable.
Mais qu'importe mes chers lecteurs, détestons-nous, ça ne rendra le jeu que plus intéressant.

Marquis de Sartre.

22 mai 2007

MOESTA ET ERRABUNDA

                                                                                                       AU LECTEUR.
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[...] C'est le diable qui tient les fils qui nous remuent!
Aux objets répugnant nous trouvons des appas;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers les ténèbres qui puent.

Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.


Stanislas n'est point mort. Il vivra tant que Plectrude vivra.
[A ma Plectrude à moi... que rien ne pourra séparer de mon être putride et aimant].

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STANISLAS ETERNEL
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